Economie
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Première mission du président de la Fed : résister à Trump !
Le président américain a abusé de son pouvoir en faisant partir Janet Yellen, qui avait restauré l'autorité et l'expertise de la Fed. S'il a nommé un modéré comme successeur - un moindre mal -, ce dernier devra gérer le chaos qui règne à la Maison-Blanche -
Altice ou la délicate reconquête des marchés financiers
ANALYSE. Plus de 50 % de capitalisation boursière envolée en vingt jours ! Le groupe Altice tarde à se relever de la tempête essuyée sur les marchés. L'action a encore décroché de près de 8 % mercredi. Pour Patrick Drahi, le travail de reconquête va être délicat. L'ajustement de sa stratégie et les résultats de SFR seront scrutés de près. -
Altice : des actionnaires veulent déposer plainte après le plongeon boursier
Les plaignants, représentés par l'avocat Frédéric-Karel Canoy, estiment que le groupe de Patrick Drahi a minoré sa dette. Une « manipulation », dénonce l'opérateur. -
Un français lance le premier fonds européen investi en bitcoin
Le français Tobam estime qu'en dépit de sa volatilité, la cryptodevise a toute sa place dans le portefeuille d'un investisseur institutionnel. -
Interdiction du voile en entreprise : la Cour de cassation pose ses conditions
La Cour de cassation a rendu ce mercredi un arrêt confirmant qu'une entreprise privée peut interdire le port de signes religieux aux salariés en contact avec les clients, à condition de l'inscrire dans son règlement intérieur. -
Nucléaire : Hulot veut pousser EDF à revoir son modèle
Le ministre de la Transition écologique a demandé un « plan précis » à l'électricien pour qu'il s'oriente davantage vers les énergies renouvelables. Il n'y a « pas de défiance » vis-à-vis d'EDF, assure l'Etat. -
EDF : des risques et peu de visibilité
Le groupe dispose de peu de leviers d'amélioration de sa situation financière. -
Ce que l'agence bancaire européenne va apporter à la place de Paris
Le déménagement à Paris de l'EBA revêt une dimension symbolique forte. Paradoxe, malgré la sortie de la puissante City de sa juridiction, l'autorité pourrait gagner en influence ces prochaines années. -
Réforme de l'accès à l'université : « Il faut créer des places dans les filières avec un taux d'employabilité important », selon Gabriel Attal (LREM)
Le député LREM de la 10? circonscription des Hauts-de-Seine, et rapporteur de la réforme de l'accès à l'université présenté ce mercredi en conseil des ministre, Gabriel Attal, a répondu aux questions de l'émission « L'Invité des Echos. » Alors que le Premier ministre Edouard Philippe avait qualifié de « naufrage » le système APB (admission post-bac) qui avait laissé sans affectation plusieurs milliers d'étudiants à la rentrée 2017, la plate-forme « Parcoursup » doit être ouverte dès le 15 janvier prochain. « Tout élève qui souhaite poursuivre dans le supérieur aura une place dans le supérieur. Une proposition lui sera faite : ça, c'est une garantie très forte », déclare Gabriel Attal dans l'émission. Lors de la présentation de son plan étudiant de 1 milliard d'euros, le gouvernement évoquait alors la création de 32.000 places supplémentaires - notamment dans les filières en tension - sur la durée du quinquennat. Or, le même document évoquait 28.000 nouveaux inscrits de 2017 à 2018. Comment le gouvernement compte-t-il être prêt pour la prochaine rentrée ? « Ce n'est pas un sujet mathématique, et ce n'est pas uniquement un sujet de places », rétorque Gabriel Attal. « Il faut créer des places dans un certain nombre de filières en tension. Il faut le faire sur les filières dont on sait qu'il y a un taux d'employabilité important à la sortie. Mais le sujet est avant tout celui de l'orientation et de l'information. » Lors de l'émission, Gabriel Attal est également questionné sur la « France insoumise » qui souhaite mobiliser dans les lycées, ainsi que la succession à Christophe Castaner au poste de parole-parole du gouvernement. Interview réalisée par Olivier Harmant. -
Rythmes scolaires : la semaine de 4 jours largement majoritaire à la rentrée 2018
Selon une enquête de l'Association des maires de France, outre les 43 % de collectivités dont les écoles sont revenues à cette semaine de 4 jours, plus de 40 % envisagent de faire de même.






