Economie
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Assurance chômage : la durée d'indemnisation des seniors dans le collimateur
L’âge pour bénéficier de trois ans d’allocations, aujourd’hui fixé à 50 ans, pourrait être relevé. -
Unédic : une dette qui a quintuplé depuis le début de la crise
Il n’est pas possible d’attendre de la seule reprise de la croissance la résorption de la dette de l’assurance chômage, prévient la Cour des comptes. -
Boris Johnson pour le Brexit
Six ministres feront campagne pour le Brexit en vue du référendum. Le maire de Londres Boris Johnson pèsera lourd dans le débat. -
Brexit : les Européens cèdent à Londres au risque de l'effet domino
Après l’accord Brexit, certains Etats pourraient être tentés de demander les mêmes avantages.La zone euro ne présente pour le moment aucun projet de nature à relancer la dynamique. -
Brexit : un accord, mais pas de gagnants
Pour la presse britannique, le coup tenté par Cameron se solde par un échec. Pour les europhiles, c’est un coup de poignard au projet européen. -
Brexit : l'accord jugé trop timide au Royaume-Uni
« Maigre gain », « reculade », « pur spectacle » : la presse britannique et des responsables politiques sont très durs avec l’accord obtenu par David Cameron. -
DCNS refait surface et garde l'Australie dans son viseur
Le groupe naval est revenu dans le vert en 2015, grâce à un plan d’économies et un bon carnet de commandes à l’international. Il est toujours en course pour un méga-contrat en Australie. -
HSBC affiche un bénéfice net annuel en recul de 1,2 %
La banque explique sa contre-performance par la chute des cours des matières premières et le ralentissement chinois. Elle renonce à vendre sa filiale turque. -
La Chine aurait gelé des comptes bancaires nord-coréens
Les dépôts et transferts en devises réalisés dans la ville frontalière chinoise de Dandong seraient bloqués depuis fin décembre par la principale banque chinoise. Près de 70 % du commerce entre Pyongyang et Pékin passe par cette ville. -
EN DIRECT DES MARCHÉS : Le maire de Londres fait chuter la livre sterling
La prise de position de Boris Johnson en faveur d’un « Brexit » a provoqué l’une des plus fortes baisses de la devise britannique depuis 2010.






